Saturday, May 21, 2005

tu me manques...

Tu me manques. J'ai du mal à accepter que le temps passe, que les choses changent, qu’on s’habitue à être ensemble et qu’on arrête de faire des choses. Tu ne m’écrit plus, tu ne me dis plus ce que tu me disais avant, tu ne me regardes plus avec les mêmes yeux. Parfois je doute même si tu m’aimes… Je sais que j’ai tort, que tu m’aimes, tout le monde me le dis, mais je ne le sens pas. C’est moi le problème, je ne vais pas bien, j’ai une immense tristesse dans mon cœur qui ne me laisse pas tranquille, qui me fait voir le mauvais côté, qui me voile les yeux et qui me rend malheureuse, qui me rend insupportable à moi-même, aux autres. La vie est mon fardeau, mais je n’ai pas le courage de l’enlever. Je suis trop faible.
J’ai peur de tout, d’aimer, d’être seule, de perdre, de râter… je suis trop sévère avec moi-même, je veux faire plaisir à tout le monde, et sa me fatigue de ne pas y arriver. J’en ai marre.
La oscuridad se apodera cada vez mas de mis pensamientos, me unde en una penosa y terrible angustia de vivir, de seguir, de no seguir. No se que hacer, estoy esperando…a Godot. No se que espero. Solo quiero volver, regresar en el tiempo, no pensar. Pensar es la muerte.

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